Portrait publié le 18 février 2016 (texte & photo) dans Equal Times
À 35 ans, Habiburahman a déjà connu la torture, les rafles, le trafic d’êtres humains, les humiliations, l’exploitation comme ouvrier clandestin, la détention… Mais son plus grand malheur reste celui d’être apatride.
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