Texte – Annie Bader, première motarde professionnelle au Liban

Reportage publié le 05 avril 2014 (texte et photos)

Le maquillage parfait sous son casque Valentino Rossi, Annie attire les regards lorsqu’elle descend de sa GSXR 750. Au Liban, rares sont les femmes à moto. « J’aimais la moto depuis toute petite, raconte-t-elle. Mais ici l’environnement n’encourage pas trop. On pense qu’une femme c’est un peu trop fragile. On ne croit pas vraiment qu’elle puisse être forte. » Il y a trois ans, la jeune responsable en ressources humaines se lance et prend des cours avant de passer son permis (environ 300 dollars au Liban).

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Journaliste multimédia indépendante / Independent multimedia journalist